mardi 29 janvier 2008

Franchutes en Granada ! (ou la visite des copains ingénieurs)

On avait lancé des invitations un peu comme ça, aux 4 vents et avant de partir, histoire que les potes (ou la famille) viennent nous rendre visite dans notre petit chez-nous du 23, calle Palencia.
Jigo, Gotié, Totof, Lyline et Loik ont répondu à l'invitation, et ont débarqué du vendredi 14 au dimanche 16 décembre (merci les RTT).

A l'appart, l'apéro

A noter l'exploit de Gautier, qui a réussi à choper sa correspondance à Paris, en provenance directe de Singapour et Hong-Kong, d'où il avait passé une petite semaine (de boulot, hein...).

Emploi du temps compressé, rythmé par la traditionnelle montée au mirador San Nicolas, la visite (
by night, whaou) de l'Alhambra, les visites (by night aussi) de la Vogue et du Granada 10 (autenticas discotecas granadinas!)...et les bars de tapas, évidemment.



Petit épisode bien rigolo : comme dans les bars les boissons sont (relativement) chères, et qu'en plus c'est plus sympa de boire un petit verre dehors (principe du
botellon) - et sur les conseils avisés de Jacques V. de Rennes - on s'est donc vidé un petit verre de vodka-RedBull en face du bar le moins cher de Grenade (allez comprendre...).
Lequel bar se situant en contrebas de l'avenue de la Constitucion, où la Guardia Civil a l'habitude de tourner en rond pour justement pas permettre aux gens super sympas comme nous de boire un verre pépère dans le froid ; on s'est donc fait gauler gentiment.
MAIS (attention papa-maman, on s'est pas fait embarquer) comme on est bien malins, on a fait mine de pas comprendre, se faisant passer pour des étudiants anglophones, qui c'est assez connu, ne font pas trop trop l'effort de parler l'espagnol.
Nous prenant donc pour des idiots finis, ils nous ont indiqué l'endroit officieux où ce type d'activité est autorisé - le botellodromo...mais dans la direction opposé d'où il se trouve (en vrai).


Botellon dans la rue (après la rencontre avec la police)

Et deuxième petit épisode bien marrant : vers 5h du matin en pleine boîte de nuit, le Granada10, débarque en costard-cravate un de nos profs, quadra super beau gosse (les filles se battent pour être aux 2 premiers rangs de la salle de cours). Verre à la main, José (Pepe pour les intimes) est le king du dancefloor...Un jour on sera peut-être comme toi Pepe, homenaje !!!

2 commentaires:

Thérèse a dit…

on veut la suite, on veut la suite!!

Thérèse a dit…

on veut toujours la suite...